La virulence de l’opposition à la réforme scolaire m’avait amenée à penser très sérieusement que nos dirigeants y renonceraient ou la videraient de sa substance comme ils ont pris l’habitude de faire en fonction des réactions. Pourquoi tenaient-ils bon ? La seule explication possible était qu’ils n’avaient pas vraiment le choix. J’ai donc entrepris quelques recherches en direction de l’Europe puisqu’en toute logique, la supposée impuissance du gouvernement ne pouvait découler que de l’influence de l’organisation européenne.
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